Extrait de l’article du Dr Pierre Tajfel, paru dans la revue Santé intégrative.
Des siècles durant, la douleur fut vécue comme une épreuve divine uniquement soulagée par la consolation spirituelle. La foi, l’héritage socioculturel et l’éducation stoïque proscrivaient les antalgiques, appelés d’ailleurs « anodins ».
Pour nous médecins, l’art médical s’exerçait sans imagerie, marqueurs biologiques ou technicité numérique, et la douleur était « utile », précieux indicateur diagnostique et thérapeutique.
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