Article d’Elisabeth Breton, publié dans la revue HEGEL du 24 février 2017
Introduction
La réflexologie repose sur le postulat que chaque organe, glande, partie du corps ou fonction physiologique correspond à un point ou à une zone précise dite zone réflexe dont on trouve une projection sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles. Chacune des zones réflexes représente un organe et sa fonction, et renvoie à une région bien précise du corps. Les différentes zones réflexes permettent de déceler des modifications dans le fonctionnement des organes ou parties du corps, de les stimuler afin de restaurer l’homéostasie.
Méthode
La réflexologie neurophysiologique est liée aux réflexes et aux stimuli nerveux. La stimulation réflexe se fait par des pressions manuelles, à l’aide des pouces, des doigts et des mains du praticien, en se basant sur une carte réflexologique qui projette une image du corps humain sur ses extrémités (pieds, mains, visage). La relation qui existe entre les zones réflexes et
les organes se fait grâce aux réseaux nerveux associés aux circuits neuro-réflexes. La stimulation entraîne une meilleure transmission du flux nerveux le long des voies nerveuses, jusqu’au cortex et thalamus, vers les glandes et les organes du corps.
Résultats
La stimulation manuelle des zones réflexes agit comme un « excitant » des réflexes vago-sympathiques. L’objectif ou la finalité de la stimulation manuelle des zones réflexes est de relancer, revitaliser ou de réajuster le potentiel vital fonctionnel des organes et des glandes.
Conclusion
La réflexologie neurophysiologique réduit considérablement le stress et favorise les changements physiologiques du corps.