Entretien avec Catherine Aliotta, Présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie, pour le site professionbienetre.fr
La décision de la plateforme Doctolib.fr de ne plus admettre les professions non réglementées à le mérite mettre au coeurs des débats la question de la sécurité des usagers des pratiques alternatives et non réglementées.
Je comprends que Doctolib, qui se pose comme un tiers de confiance, ne veuille pas prendre de risque, car aujourd’hui il n’y a pas de réglementation claire sur les professions du bien-être. Et je comprends aussi leur point de vue qui est d’œuvrer pour la protection des usagers. En ce sens, je ne peux que les rejoindre, puisque c’est également le débat que nous avons à la chambre syndicale depuis longtemps.
Catherine Aliotta
En plus du titre RNCP, qui prouve que la pratique constitue « un vrai métier qui a une existence réelle sur le marché », Catherine Aliotta met également en avant l’importance d’un suivi post-formation des professionnels.