Un tableau sévère dépeint par l’administration sur certaines pratiques en médecines douces.
Sur 675 praticiens inspectés en 2018, 460 étaient en infraction ! Les manquements n’épargnent aucune pratique : auriculothérapeutes en tête, mais également naturopathes, aromathérapeutes, hypnothérapeutes, acupuncteurs, et réflexologues.
Dans les pires de cas, un « exercice illégal de la médecine » ou une « usurpation de titres » ont déclenché des poursuites judiciaires.
Le plus souvent les manquements sont liés à
- un défaut d’information du public
- à l’emploi de termes médicaux inappropriés
- ou à une méconnaissance des règles déontologiques de la part des praticiens
Ce rapport est sévère mais il a le mérite de rappeler quelques règles essentielles aux praticiens des « approches de ces pratiques du bien être dites médecines douces ».